Retour à Dakar pour une dernière formalité : récupération du billet d'avion.
Je passe sur les embouteillages habituels, dès l'arrivée nous passons à Air Sénégal où ... aucun message n'est venu de Paris. On soupçonne en fait la charmante Bernadette de n'avoir rien fait ... On décide de profiter du délai pour rendre la voiture puis on va traîner dans Dakar avec une certaine appréhension. On repasse en fin de matinée, toujours rien, le stress devient palpable ...
Je passe sur les embouteillages habituels, dès l'arrivée nous passons à Air Sénégal où ... aucun message n'est venu de Paris. On soupçonne en fait la charmante Bernadette de n'avoir rien fait ... On décide de profiter du délai pour rendre la voiture puis on va traîner dans Dakar avec une certaine appréhension. On repasse en fin de matinée, toujours rien, le stress devient palpable ...
Déjeuner d'un simple croissant, l'appétit coupé. Sieste forcée à l'hôtel. Retour à l'agence vers 15h, longue attente, avant d'apprendre que l'autorisation est enfin arrivée !! Catherine fond en larmes de bonheur : s'il avait fallu racheter un billet, nous n'aurions pas eu assez d'argent pour le payer (ils n'acceptent pas les cartes bancaires !).
Après les paperasse nous décidons de ne plus rien faire avant le départ, trop de stress !!! Donc retour à l'hôtel après un café dans le bar à (très jolies) putes, on range les valises, on va boire une bière avant de dîner tôt et d'aller nous coucher. Demain réveil à 5h !
vendredi 10 novembre 2006
On prend un taxi pour aller à l'aéroport. Ce sera notre dernier souvenir sénégalais : un taxi encore plus délabré que les autres, à peine éclairé et il fait nuit noire, et un conducteur "m'en fout la mort" ... on a cru mourir 10 fois sur le trajet ...
Mais l'avion s'envolera avec nous à bord à 9h30.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire